Outre une place paysagée extérieure, un bassin réfléchissant faisant le tour du bâtiment et une large vue dégagée sur les collines alentours, le bâtiment compte aussi, à l’intérieur, des arbres ou des meubles et luminaires à caractère naturel.

Cet édifice alimenté en énergie solaire et construit avec des matériaux écologiques et durables présente des formes sinueuses et ondulées, et des étages qui s’empilent avec fluidité, à l’image du mouvement de l’eau de l’étang.

Les toitures inclinées situées à hauteurs différentes créent une dynamique tandis que les baies vitrées continues et galbées laissent généreusement pénétrer la lumière et font le lien entre intérieur et extérieur.

Dans l’entrée du bâtiment, une installation Origami a pris place sur un mur légèrement incurvé. Ce luminaire monté en surface conçu par Ramón Esteve est à la fois source de lumière et œuvre d’art. Inspiré de l’art japonais du pliage du papier auquel il doit son nom, ce luminaire se compose de plusieurs modules lumineux à lumière LED qui fournissent un éclairage d’ambiance et dont l’agencement peut être personnalisé.

Tel un lierre courant sur un mur, cette composition architecturale établit un dialogue subtil avec l’arbre qui lui fait face depuis sa bulle de verre.

Dans l’espace repas, une suspension Match signée Jordi Vilardell et Meritxell Vidal éclaire deux tables de réunion qui servent aux cours de cuisine.

Ce luminaire fait de fines baguettes en métal terminées par de petites ampoules LED dessine, dans cet espace ouvert, une silhouette dentelée à la fois délicate et théâtrale qui rappelle le rythme irrégulier d’une toile d’araignée accrochée au plafond.